ALERTE au Doliprane pendant la grossesse !
Ensemble, protégeons les femmes enceintes des ravages de ce médicament sur la santé des bébés.
Madame, Monsieur,
Ce que je viens de découvrir m’a tellement choquée que j’ai décidé de dénoncer ce scandale publiquement.
Une nouvelle étude scientifique vient de prouver par A + B que le Doliprane est dangereux pour les femmes enceintes et surtout, pour le bébé qu’elles portent (1) :
- Hausse de 30 % du risque d’hyperactivité (trouble de déficit de l'attention avec ou sans hyperactivité) ;
- Augmentation de 20 % du risque d’autisme.
Et vous allez voir que ce médicament est aussi la cause de bien d’autres maladies chez l’enfant.
Mais le pire dans tout ça, c’est que PERSONNE ne bouge…
Car cette étude n’est pas la première - loin de là : c’est au moins la 18ème sur ce sujet en moins de 5 ans.
On sait pourtant depuis 10 ans que le paracétamol peut provoquer de GRAVES EFFETS sur le développement de l’enfant dans le ventre de sa maman.
Vous avez bien lu, de simples pilules de paracétamol… du Doliprane…
Plusieurs études médicales très sérieuses ont prouvé qu’une trop forte exposition des femmes enceintes au Doliprane, au Dafalgan ou encore à l’Efferalgan expose leurs futurs bébés à :
- de l’hyperactivité (2),
- des troubles de l’attention et du comportement (3, 10, 11, 12, 13, 14, 15),
- et dans les cas les pires… à l’autisme (4).
Et ça ne s'arrête pas là.
D’autres études, tout aussi sérieuses et fiables, ont prouvé que le paracétamol peut aussi causer :
- une baisse de la fertilité des petites filles (16).
- des malformations génitales chez les petits garçons (7).
- une diminution de la production de testostérone chez les futurs petits garçons (7).
- et pas moins de 13 études ont montré une augmentation des risques d’asthme chez le bébé à naître (5).
Rien que ces dernières années, des chercheurs ont publié des résultats qui font froid dans le dos:
- En novembre 2017, les chercheurs étaient déjà formels : "Nous avons découvert que la prise de paracétamol pendant 29 jours ou plus, durant la grossesse, augmentait le risque de TDAH de 220% chez l’enfant", a déclaré à CNN Eivind Ystrom, chercheur à l’Institut norvégien de la santé publique et auteur principal de l’étude. (3)
- En octobre 2016 aussi, les preuves étaient accablantes : sur plus de 7000 mamans et leurs bébés en Grande-Bretagne, un lien fort a été conclu entre l'utilisation du paracétamol pendant la grossesse et des problèmes de comportement chez les enfants à l'âge de sept ans. (9)
- Un projet similaire portant sur 64 000 femmes danoises et leurs bébés a montré un rapport entre l'utilisation du paracétamol pendant la grossesse et des troubles du comportement et de l’autisme chez des enfants âgés de sept ans. (10)
Compte tenu de l'utilisation généralisée du paracétamol chez les femmes enceintes, TOUS les chercheurs ont tiré la sonnette d’alarme en déclarant "des implications importantes pour des problèmes de santé publique".
Même les journaux grand public en ont fait leurs gros titres :
“ Le Paracétamol, facteur de risque pour le fœtus.” - Le Monde (17)
“ Le Paracétamol serait dangereux pour les bébés.” - Le Bien public (18)
“ Grossesse : l'abus de paracétamol serait dangereux pour le bébé.” - La Dépêche (19)
Pourtant… en France, le Doliprane reste le médicament le plus prescrit pendant la grossesse.
Le Ministère de la Santé affirme que la recherche n'a fait que signaler une association pour suggérer une enquête plus approfondie…
Nos technocrates de la santé sont même allés jusqu’à déclarer qu'il n'y avait aucune preuve définitive que le paracétamol causait des dommages aux fœtus...
Pourtant, plusieurs institutions publiques de santé ont émis des mises en garde.
C’est le cas du Comité pour l’évaluation des risques en matière de pharmacovigilance (PRAC) et de l’Agence européenne des médicaments (EMA) :
"En cas de nécessité clinique, le paracétamol peut être utilisé pendant la grossesse, mais à la dose efficace la plus faible et pendant la durée la plus courte nécessaire au soulagement des symptômes." (20)
C’est donc à nous, en tant que citoyen.nes et en tant que parents et futurs parents, d’agir collectivement pour protéger nos enfants à naître.
Vous pouvez, en un simple clic, signer cette pétition pour que la prescription de paracétamol aux femmes enceintes soit mieux réglementée et que les femmes enceintes soient correctement informées.
Pourquoi nos autorités font la sourde oreille ?
Je peux d’ores et déjà vous affirmer que le combat ne sera pas facile.
Il va falloir que nous soyons des milliers à nous mobiliser pour faire changer les choses.
Car derrière tout cela, il y a une question de gros sous :
Dans le monde entier, le paracétamol est le NUMÉRO 1 des ventes en pharmacie.
On le retrouve dans le Doliprane, mais aussi le Dafalgan et l’Efferalgan, ou encore l'Actifed, l'Humex, le Fervex…
Au total, les multinationales pharmaceutiques gagnent plus de 6 milliards de dollars avec cette poule aux œufs d’or chaque année (21).
Personne n’a intérêt à ce que le scandale éclate.
Surtout pas notre gouvernement, déjà empêtré dans les scandales des 11 vaccins obligatoires, de la Dépakine, du Levothyrox, du stérilet Mirena et de tous les autres médicaments qui ont fait un nombre impressionnant de victimes avant de devenir un problème de santé publique…
Et particulièrement pas notre nouvelle Ministre de la Santé, que l’on sait pieds et poings liés avec l’industrie pharmaceutique…
Saviez-vous où travaillait Agnès Buzyn avant de rejoindre le gouvernement Macron ?
De 1998 à 2011, elle était au laboratoire Genzyme, qui n’est autre qu’une filiale de Sanofi… fabricant et fournisseur officiel du Doliprane !
Alors, on laisse faire la meilleure amie de Big Pharma ?
On attend qu’1 enfant sur 10 devienne autiste avant de réclamer l’interdiction du Doliprane aux femmes enceintes ??
Non, on fait notre devoir de parents, de citoyens, et on unit nos forces pour que chaque femme enceinte soit informée et protégée.
Agissons ensemble pour qu’il n’y ait plus d’autres victimes.
Aujourd’hui en France, en Suisse, en Belgique et partout dans le monde, des milliers de futures mamans sont concernées.
Il y a URGENCE.
Dans de nombreux pays - comme aux États-Unis ou en Angleterre - ces médicaments sont en vente libre au supermarché : il faut s’attendre à de véritables ravages sur nos futurs bébés.
Chaque jour qui passe, des centaines de milliers de futurs bébés sont exposés au Doliprane dans le ventre de leur maman avec la bénédiction des médecins.
Et le nombre d’enfants autistes augmente de façon très inquiétante chaque année :
- + 78 % entre 2002 et 2008.
- Dans le monde, 1 enfant sur 100 est touché, alors qu’il n’y en avait qu’1 sur 2000 en 1960 ! (21)
Sans parler des chiffres sur l'infertilité et sur les malformations génitales en hausse permanente et inquiétante... qui, contrairement à ce qui a été dit, ne sont pas seulement dus aux polluants.
C’est pour toutes ces raisons que j’ai décidé d’essayer de dénoncer les réels dangers du doliprane pour les femmes enceintes - à mon petit niveau et avec votre aide.
Il faut agir maintenant avant qu’il ne soit trop tard.
Les pouvoirs publics sont au courant et ne font rien.
On l’a vu avec le scandale de la Dépakine (22) : il a fallu 10 ans entre les premières études qui dénoncaient ses graves dangers et le moment où il a été interdit aux femmes enceintes…
Même choses avec les autres scandales liés aux médicaments qui mettent en danger la santé des femmes enceintes et de leurs futurs bébés :
- Uvestérol D
- Distilbène
- Mediator
- Dépakine
- etc...
Pour chacun de ces médicaments, le scénario est exactement le même :
- des études démontrent leurs dangers ;
- des patients souffrant d’effets secondaires graves commencent à parler ;
- ils se réunissent pour se battre et finissent par obtenir gain de cause après de longues batailles judiciaires.
Faudra-t-il en arriver là avec le Paracétamol ?
C’est inacceptable.
Les femmes enceintes devraient être protégées par leurs médecins… pas exposées à des dangers si facilement évitables !
Nous confions ce que nous avons de plus précieux entre leurs mains, ils se doivent de nous protéger.
C’est pourquoi je vous appelle à SIGNER LA PÉTITION CI-DESSOUS pour dénoncer ce scandale avant qu’il ne fasse encore des centaines de milliers de victimes !!
Nous devons être des milliers à dire NON et peut-être qu’ils seront obligés de “bouger”.
Tous les parents, et plus particulièrement les futurs parents, doivent unir leurs forces pour que nous protégions NOS BÉBÉS des dangers du Doliprane pendant la grossesse.
Qu'attendons-nous pour agir ? Une solution simple… existe !
Il faut arrêter de mettre les femmes enceintes en danger et exiger du gouvernement qu’il réglemente VRAIMENT la prescription du Doliprane aux femmes enceintes.
Une solution simple existe : mettre un logo Interdit aux femmes enceintes sur toutes les boîtes contenant du Paracétamol, comme cela vient d’être fait pour 60% des médicaments vendus en pharmacie.
C’est efficace, ça ne coûte pas grand chose aux industries pharmaceutiques multi-milliardaires, et c’est faisable tout de suite !
Il suffit d’un picto, comme celui sur les bouteilles d’alcool (dont les dangers pendant la grossesse nous sont expliqués, en long, en large et en travers).
Avec une explication très simple sur les effets secondaires possibles, cela fonctionne.
Il suffit de voir à quelle vitesse l’Uvesterol D a été retiré du marché dans toute l’Europe dès qu’un bébé est décédé après en avoir ingéré (23).
Quand les pouvoirs publics veulent vraiment changer les choses, ils peuvent sans problème faire fléchir la toute puissante industrie pharmaceutique.
Signez dès maintenant la pétition adressée à la Ministre de la Santé, Agnès Buzyn !
L’administration est empêtrée dans plusieurs scandales sanitaires liés au médicaments qui mettent la vie de centaines de milliers de personnes en danger : Uvestérol D, Dépakine, 11 vaccins obligatoires...
C’est le moment de taper fort !
Nous devons mettre la pression maintenant pour que des mesures fermes soient prises au niveau national, sinon, des milliers de futures mamans risquent de mettre leur bébé en grave danger sans même le savoir.
Si nous réunissons assez de monde, nous allons réussir ! Chaque jour compte !
Il y a urgence !
Nous voulons tous que nos enfants, petits et grands, soient protégés au plus vite.
Pensons en particulier aux plus de 800 000 femmes enceintes qui vont donner naissance à leurs bébés en 2018.
Si rien n’est fait, vous connaissez déjà les risques qu’elles encourent.
Dans quelques semaines ou dans quelques jours, leurs médecins leur prescriront du Doliprane pour un rhume, une migraine, un mal de dos...
Mais cette fois ils ne pourront pas dire qu’ils n’étaient pas au courant. Alors agissons !
Il est plus qu’important que toutes les femmes enceintes soient informées et se mobilisent… Nous pouvons être des centaines de milliers, car ce sujet touche toutes les familles.
Contactons et réunissons les parents et grands-parents, les oncles et tantes… ainsi que tous les citoyens responsables qui ont compris que se joue ici un enjeu de santé publique.
Il n’y a plus une minute à perdre !
Signez et diffusez cette pétition pour alerter un maximum de femmes enceintes des dangers du Doliprane pour leurs futurs bébés.
Tous et toutes ensemble, protégeons la future génération des dangers qui menacent leur santé avant même qu’ils ne soient nés.
Anne-Laure Brunelle, journaliste et fondatrice de Naturelle maman
Nombre de signatures recueillies :
Sources
(1) Reem Masarwa, Hagai Levine, Einat Gorelik, Shimon Reif, Amichai Perlman, Ilan Matok, “Prenatal Exposure to Acetaminophen and Risk for Attention Deficit Hyperactivity Disorder and Autistic Spectrum Disorder: A Systematic Review, Meta-Analysis, and Meta-Regression Analysis of Cohort Studies”, American Journal of Epidemiology, 24 April 2018. Trouvé sur : https://doi.org/10.1093/aje/kwy086
(2) Ystrom E, Gustavson K, Brandlistuen R, Knudsen G, Magnus P, Susser E, Davey Smith G, Stoltenberg C, Surén P, Håberg SE, Hornig M, Lipkin WI, Nordeng H, Reichborn-Kjennerud T, “Prenatal exposure to acetaminophen and risk of ADHD”, American Academy of Pediatrics, Novembre 2017. Trouvé sur : https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/29084830
(3) Avella-Garcia C, Julvez J, Fortuny J, Rebordosa C, García-Esteban R, Riaño Galán I, Tardón A, Rodríguez-Bernal C, Iñiguez C, Andiarena A, Santa-Marina L, Sunyer J, “Acetaminophen use in pregnancy and neurodevelopment: attention function and autism spectrum symptoms”, 2016. Trouvé sur : http://ije.oxfordjournals.org/content/early/2016/06/27/ije.dyw115
(4) http://www.autisme-france.fr/offres/doc_inline_src/577/DP_AF_2_avril_2016_vf.pdf
(5) Magnus MC, Karlstad Ø, Håberg SE, Nafstad P, Davey Smith G, Nystad W,“Prenatal and infant paracetamol exposure and development of asthma: the Norwegian Mother and Child Cohort Study”, International Journal of Epidemiology, 2016. Trouvé sur : https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/26861478
(6)“Analgesic exposure in pregnant rats affects fetal germ cell development with inter-generational reproductive consequences”, Scientific Report, 2016. Trouvé sur : http://www.nature.com/articles/srep19789
(7) D Møbjerg Kristensen, U Hass, L Lesné, G Lottrup, “Intrauterine exposure to mild analgesics is a risk factor for development of male reproductive disorders in human and rat”, Human Reproduction Advance Access, 2010. Trouvé sur : http://humrep.oxfordjournals.org/content/early/2010/11/08/humrep.deq323.ful
(8) Association of Acetaminophen Use During Pregnancy With Behavioral Problems in Childhood: Evidence Against Confounding. Stergiakouli E, Thapar A, Davey Smith G. JAMA Pediatr. 2016 Oct 1;170(10):964-970. doi: 10.1001/jamapediatrics.2016.1775. Trouvé sur : http://jamanetwork.com/journals/jamapediatrics/article-abstract/2543281
(9) Trouvé sur : http://jamanetwork.com/journals/jamapediatrics/fullarticle/18334867
(10) Paracetamol use during pregnancy and attention and executive function in offspring at age 5 years. Liew Z, Bach CC, Asarnow RF, Ritz B, Olsen, J. Int J Epidemiol, 2016, dyw296. doi: 10.1093/ije/dyw296.
(11) Neurodevelopmental problems at 18 months among children exposed to paracetamol in utero: a propensity score matched cohort study. Vlenterie R, Wood ME, Brandlistuen RE, Roeleveld N, van Gelder MM, Nordeng H. Int J Epidemiol. 2016 Aug 31. pii: dyw192.
(12) Use of acetaminophen (paracetamol) during pregnancy and the risk of attention-deficit/hyperactivity disorder in the offspring. Andrade C. J Clin Psychiatry. 2016 Mar;77(3):e312-4. doi: 10.4088/JCP.16f10721.
(13) Annotations and reflections: pregnancy and paracetamol: methodological considerations on the study of associations between in utero exposure to drugs and childhood neurodevelopment. Damkier P, Pottegård A, dePont Christensen R, Hallas J. Basic Clin Pharmacol Toxicol. 2015 Jan;116(1):2-5. doi: 10.1111/bcpt.12322. No abstract available.
(14) « PRESCRIPTION D’ANTALGIQUES AU COURS DE LA GROSSESSE : ÉTUDE DE COHORTE RÉTROSPECTIVE EN FRANCE » Delorme Jessica, Chenaf Choukia, Gauffier Mariona , Dubuisson Marinea , Kabore Jean-Luca , Eschalier Alaina, Zenut Mariea, Authier Nicolasa. CRPV et CEIP Auvergne, Service de Pharmacologie médicale, CHU Clermont-Ferrand; INSERM UMR 1107 Neuro-Dol, Faculté de Médecine, Université d’Auvergne, France; Centre d’Evaluation et de Traitement de la Douleur, CHU Clermont Ferrand; Institut Analgesia, Faculté de médecine, Clermont Ferrand.; EA PEPRADE, Université d’Auvergne
(15) Avella-Garcia C, Julvez J, Fortuny J, Rebordosa C, García-Esteban R, Riaño Galán I, Tardón A, Rodríguez-Bernal C, Iñiguez C, Andiarena A, Santa-Marina L, Sunyer J, “Acetaminophen use in pregnancy and neurodevelopment: attention function and autism spectrum symptoms”, 2016. Trouvé sur : http://ije.oxfordjournals.org/content/early/2016/06/27/ije.dyw115
(16) Scientific Day ANSM and EHESP Nonsteroidal Anti‐Inflammatory Drugs (NSAIDs) and acetaminophen (paracetamol) during pregnancy: impact on the urogenital apparatus JANUARY, 27th 2017 – Room A012ANSM 143‐147 bd Anatole France 93200 Saint‐Denis
(18) http://www.bienpublic.com/actualite/2016/08/19/le-paracetamol-serait-dangereux-pour-les-bebes
(21) http://www.fiercepharma.com/special-report/top-20-generic-molecules-worldwide